Découvrir l’Ile Rouge avec Tour Malin Madagascar
Juin 03
Quatrième plus grande Ile au monde, Madagascar offre un bon terrain de jeu pour les amoureux de la nature. Près de cinq mille kilomètres de côte, une surface équivalente à la France et le Benelux réunis, un relief très varié et une densité humaine encore très bas font de cette île, l’endroit rêvé pour l’exploration.
Certes, un pays en voie de développement, mais reste encore très sauvage dès les premières routes quittées. Elle a tout pour attirer les aventuriers : les plages qui bordent pratiquement tout le territoire à l’exception de quelques zones, les forêts de la plaine côtière qui regorge une richesse immense en termes de biodiversité, les montagnes qui longent toute sa longueur dont la plus haute culmine à plus de 2800 mètres, sans oublier les zones particulières de cette Ile Rouge : le massif de l’Isalo, les Tsingy de l’Ouest et les avens du Sud.
Tout cela contribue au caractère unique de cette terre. La population y est très accueillante en rapport à leur origine respective. Les descendants des premiers indonésiens sont rentrés dans les terres pour cultiver le riz à flanc de collines des Hautes Terres, ceux qui viennent de l’Afrique se sont cantonnés dans les plaines côtières de l’ Ouest et du Sud pour pouvoir élever les zébus amenés du Grand Continent et les descendants des arabes sont restés tout autour de l’île pour bénéficier des retombés du commerce naval.
Un métissage s’est créé et actuellement nous pouvons énumérer plus d’une dizaine d’ethnies dans toute l’île, 18 exactement. Chacun a développé sa culture propre depuis leur première implantation jusqu’à maintenant. Mais ce qui est commune à toute cette population, ce serait indéniablement le culte des morts. Ils l’auraient hérité d’un métissage entre indonésiens africanisés venant de la, partie Orientale de l’Afrique. Le procédé diffère d’une région à une autre mais reste identique dans le fond, c’est-à-dire, prendre soin des morts pour qu’en retour ils prennent soin des vivants du haut de leur statut d’intermédiaire entre le monde des vivants et du créateur, « le Zanahary ».
Durant la période d’hiver austral, presque toute la partie centrale des hautes terres pratique ces rites de retournement des morts qui est un des symboles de soin donnés par les vivants aux défunts. Un spectacle des plus étranges pour les non-initiés mais rempli de sens pour les malgaches.
Bonjour Madame
Nous sommes un couple de 58 et 63 ans souhaitant une chambre avec douche et climatisée quand cela sera possible, « confort qualifié d’européen »
Nous disposons de 15 jours entre le 2 et 18 décembre 2016
Nous souhaitons visiter autant les paysages (faune, parc) que des sites : villes ou monuments avec un guide nous expliquant l’histoire et la vie actuelle des malgaches. Nous ne sommes pas sportifs, seulement des marches de 2 heures maxi.
Nous acceptons d’intégrer un groupe de francophone sur les critères énoncés ci-dessus.
Bien cordialement,
Christiane et Jean-Jacques LENFANT